La phase plateau est la hantise de toute personne voulant progresser. Que ce soit pour assimiler une nouvelle compétence, soulever plus de fonte ou perdre du poids, il y a toujours un moment où le corps et/ou l'esprit cherchera à s'adapter pour limiter les variations et donc empêcher la progression.
La perte de poids n'échappe pas à cette règle.
L'astuce est généralement d'inclure un "cheat meal" ou une variation brutale dans la prise calorique – la méthode zigzag.
Cependant, même si nous partageons tous la même biologie, il y a des différences dues à la fois au style de vie et à des petites variations individuelles qui impliquent une inefficacité de certaines méthodes. Ainsi, mes particularités personnelles font que les régimes traditionnels ne fonctionnent pas ou ne sont pas adaptés à mon rythme.
Ainsi, j'ai mis au point la méthode 1-2-4 qui permet de pousser le corps dans ses retranchements et de passer outre la phase plateau.
Un petit outil que je voulais réaliser depuis longtemps. Mettre sur mon cybercarnet l'image d'une webcam… mais pas l'image de n'importe quelle webcam.
Pour mon ordinateur personnel, je possède un Microsoft Trackball Optical. Je l'ai et je le chéris depuis des années.
Mon client actuel m'a fourni un ordinateur professionnel, un ordinateur portable et, comme tous les ordinateurs portables, l'ergonomie laisse à désirer. J'ai trouvé une souris qui traînait dans un de mes cartons. Elle a fait l'affaire durant quelque temps avant que je me rende à l'évidence : il me fallait un meilleur outil de productivité. J'ai donc fait l'acquisition d'un nouveau matériel avec mes deniers personnels pour disposer d'un trackball : le Logitech MX Ergo.
Après quelques jours d'utilisation, le temps est venu à la comparaison.
Linux, Apache, MySQL, PHP.
LAMP. Cet acronyme qui devient la référence et la compétence fondamentale à avoir pour commencer à développer des sites web.
Parce qu'un beau graphe vaut mieux qu'un long article.
Je suis tombé par hasard sur cette blague :
Je suis toujours un des premiers à plaisanter et aimer les bons mots, mais là, j'ai beau essayer, je n'y arrive pas. Vous me direz que c'est normal puisque je fais partie de la cible de cette critique, mais je suis moi-même le premier à utiliser l'auto-dérision pour faire marrer les copains.
Non, cette blague ne me fait pas rire parce qu'elle n'a juste aucun sens. Et je vais vous expliquer pourquoi.
Je rencontre de plus en plus de personnes s’inquiétant d’un certain nombre de conséquences négatives voire néfastes de la méthode Scrum et, plus généralement, des méthodes agiles.
De l’autre côté, les spécialistes de la méthode avec lesquels je discute me disent : « C’est parce qu’elle est mal appliquée. »
Je suis dubitatif.
Mon expérience personnelle m’a amené à faire très attention à la façon dont nous formulons et construisons nos phrases. Cette construction traduit notre façon de penser, les connexions implicites sous-jacentes, si bien que ce qui peut paraître anodin et sans conséquence devient, pour moi, très lourd de sens. Les mots et leur contexte d’usage ont une importance particulière pour son émetteur. Avec le recul, rien n’arrive jamais – ou très rarement – par hasard.
C’est pourquoi, contrairement à ce qu’on pourrait penser, je perçois le glissement de vocabulaire de « méthodologie pour un développement agile » à « méthode agile » comme plus que significatif, sans être un hasard.
Scrum, une des méthodes agiles les plus populaires, ne fait pas exception à la règle.
Au risque de me faire quelques ennemis, voici mon analyse du sous-texte ainsi que quelques propositions d’amélioration.
La perte de poids n'est pas une chose aisée. Elle réclame de la motivation et de la méthode.
Une fois que vous avez réalisé à quoi vous allez vous exposer, si vous êtes toujours motivé, il faut passer à l'action.
Se jeter tête baissée dans un régime conduit inexorablement à l'échec. Il faut avant tout préparer un plan de bataille. Cette étape est nécessaire car elle permet de construire la motivation et de préparer l'esprit à un long périple.
Je suis récemment tombé par hasard sur un nouveau langage de programmation qui m'a fasciné et passionné. Il m'a obligé à me replonger des matières que j'avais pratiquées il y a longtemps et que j'avais mises de côté parce que je n'en avais pas besoin au quotidien.
La problématique de l'apprentissage d'une nouvelle connaissance universitaire pose le problème plus large de l'apprentissage et du travail personnel. Bien malgré moi, je me suis retrouvé confronté au problème du devoir à la maison, avec un exemple très concret me touchant personnellement.
Les voies de la connaissance et du savoir sont impénétrables – et cauchemardesques !
C’est en ces termes que je pourrais résumer ma orientation/conversion très inattendue vers/à R.
J’ai récemment lu un article très intéressant au sujet des données personnelles et j'ai téléchargé le dossier complet. Je l'ai lu avec beaucoup d'intérêt car ce sujet me concerne et me passionne.
Cependant, étant donné que je suis un ingénieur, je ne peux pas m'empêcher de voir le monde par le côté pratique et je ne redoute jamais plus que les conclusions yakafokon.
Toute critique devant être suivie de propositions, je me permets ici de livrer mon analyse, fondée bien évidemment sur mon point de vue et n'engageant que moi.
Je suis abonné aux trucs simples qui virent au cauchemar.
J'avais décidé de migrer mon pare-feu pfSense : nouveau matériel et nouveau logiciel. Le matériel, Alix, est d'apparence extérieure identique, mais un matériel plus récent et plus performant.
En théorie, tout était simple : installer pfSense sur le nouveau, exporter le configuration de l'ancien (Backup) et l'importer sur le nouveau, réassigner les ports physiques aux interfaces correspondantes… et le tour était joué !
Je me suis laissé tenter par une montre connectée, la Fitbit Versa. J’ai choisi ce modèle pour son design. J’avais envie d’expérimenter les montres connectées afin de voir ce que ça vaut aujourd’hui.
Tout était simple. Il ne fallait qu'une montre Ardroid ou un iPhone et ça devait jouer… en théorie. Mais nous ne vivons malheureusement pas en théorie.
Lors d’une diète avec restriction calorique visant à perdre du poids, il convient de respecter certaines règles. Mais la question du régime alimentaire se pose. Même s’il n’y a pas de réponse précise, il convient cependant de faire attention à certaines choses, notamment la quantité de glucides ingérée.
Nous allons voir ici pour lesquelles la quantité de glucides doit être surveillée et maîtrisée.
J'étais dans le train et j'ai assisté à la scène ahurissante d'un couple de jeunes qui, de l'autre côté du couloir, se chamaillaient pour fouiller dans le téléphone portable de l'autre, avec les conséquences que cela implique – toujours.
Mon jardinier dépose souvent du panais dans mon panier. Je ne déteste pas, cependant ce légume à tendance à me donner des nausées et m'écœurer facilement. Je ne peux donc pas le manger simplement et – à moins de le jeter, ce qui est hors de question – je dois le préparer autrement.
J'ai donc adapté la recette de pain d'épices et utilisé le panais en ingrédient principal.
Internet a permis de rendre effectif des droits qui n’étaient jusqu’à présent que de l’ordre du principe, comme la liberté d’expression et le respect de la vie privée. Auparavant, seuls quelques privilégiés – les politiciens et les journalistes – avaient accès à la liberté d’expression mais Internet a changé la donne : tout le monde, le plus petit d’entre nous ayant accès à internet, possède le pouvoir d’exercer sa liberté d’expression.
Et c’est alors que nous nous apercevons que la censure est un problème. Parce qu’autrefois la liberté d’expression était réservée à une élite, il était assez facile de la contrôler et la censure passait plutôt inaperçu. Mais avec la démocratisation d’Internet, la censure devient aussi bien visible parce qu’elle s’exerce soit à grande échelle, soit sur des personnes ayant une grande visibilité. Et donc, plus que jamais, nous nous émouvons de la censure exercée abusive par Twitter ou Facebook sur certains posts.
Pourtant, cette censure est parfaitement normale, pour la simple et bonne raison que c’est ce que nous attendons d’eux.
Un couple d’amis m’a conseillé le film Sully. Je l’ai récemment visionné et j’ai beaucoup aimé. Au-delà des événements réels, le film nous interpelle et nous interroge sur l’humanité et n’est pas sans rappeler la trilogie Matrix, qui interpellait également sur le même sujet, notamment sur la limite entre l’homme et la machine et, au second plan, sur la notion de libre arbitre.
Le combat de l’homme contre la machine et de l’humanité est un sujet récurrent aussi vieux que la science fiction et, même bien avant cela, lorsque Mary Shelley posait la question dans son fameux Frankenstein. Au travers de cette interrogation transpire l’intérêt pour l’homme de comprendre sa vraie nature et de savoir qui il est, qu’est-ce qui fait de lui un humain et, à partir de ses composantes, qu’est-ce qui fait qu’à un moment donné, le tout est supérieur à la somme des parties ?
La perte de poids est une question de plus en plus fréquente et est intrinsèquement liée à l'obésité dans la société moderne.
Le débat fait rage entre l'acceptation ou non de l'obésité comme normalité et, lorsque la perte de poids est un objectif, sur le moyen à employer, qu'il soit intrisèque – régime – ou extrinsèque – chirurgie.
En tant qu'athlète, je ne considère pas la méthode extrinsèque comme une solution en soi, puisqu'il s'agit en réalité d'une tricherie. La chirurgie ne résout pas le problème, elle le contourne. Or, l'intérêt du sport réside dans sa réussite personnelle par sa détermination et ses efforts.
Donc, une personne qui voudrait maigrir par ses propres moyens en mettant à l'épreuves ses propres limites arrivera à se poser la question du régime alimentaire.
Parlons-en…
J’ai commencé le sport de haut niveau vers 19 ans et je n’ai pas arrêté depuis.
Durant toutes ces années, j’ai travaillé avec d’autres athlètes dont certains étaient d’anciens obèses. J’en ai profité pour leur poser des questions à propos d’eux, d’avant, d’après…
Si je me permets de publier leurs expériences c'est parce que les réponses étaient toutes consistantes et à l'unanimité.
Et voici ce qu’ils – environ 25 personnes des deux sexes – m’ont répondu.
Je n'ai jamais personnellement rencontré d'entreprise qui applique à 100% une méthodologie pour une programmation agile. Et à chaque fois que j'en parle autour de moi, mes interlocuteurs font le même constat. Il peut s'agir d'organiser les réunions, de découper les développements par blocs de valeur, d'organiser les équipes comportant un petit nombre de personnes, …
Chaque cas est unique et revêt des caractéristiques, une approche et une implication différente. Mais j'ai toujours entendu «nous appliquons/ils appliquent un peu de méthodologie agile» comme si ce n'était pas suffisant.
En fait, peu ou prou, appliquer une méthodologie agile est toujours à 100% d'agilité à partir du moment où on l'applique, même un peu.
Je vois régulièrement des reportages et des interventions à propos des bienfaits du végétarisme sur le corps et sur la planète, notamment par rapport aux problèmes climatiques et à l' épuisement des ressources naturelles.
Certes, l'homme étant omnivore et la nature étant bien faite, il est tout a fait possible d'obtenir les nutriments nécessaires sans manger de viande. Cependant, on oublie souvent de dire qu'on ne peut pas transposer simplement l'apport de protéines par la viande et par le végétarisme sans tenir compte du reste.
Or, lorsque vous êtes un athlète, les choses ne sont pas exactement aussi claires et simples et la comparaison ne peut pas se limiter à un simple apport de protéines.
Aussi loin que je me souvienne, mes devoirs scolaires – et autres contrôles de connaissance – étaient corrigés à l’encre rouge par le professeur. C’est une convention : les devoirs sont corrigés en rouge. Ce n’était pas un traitement de faveur, mes camarades y avaient droit et mes parents avant eux, leurs parents, etc. C’est une convention qui se transmet de génération en génération.
Cette convention a tellement traumatisé les élèves que, devenus parents aujourd’hui, certains demandent l’abolition du système de notation, arguant qu’une mauvaise note décourage l’élève plutôt que de l’encourager.
D’un point de vue technique et psychologique, ce n’est pas la notation qui pose problème. Et si nous voulons garder un système d’instruction performant, nous devons conserver un système de notation qui permet d'avoir une mesure plus ou moins «scientifique» de la progression et des points faibles à travailler.
Non, ce qui décourage l’élève n’est pas la note obtenue, mais l’encre rouge.
Le chocolat est un péché-mignon. Je l'adore tellement que j'ai fini par en devenir allergique. Mais cela ne m'empêche pas de tester des recettes.
Voici ma recette de mousse au chocolat, facile à faire, ferme et stable, celle que j'utilise notamment lorsque je dois faire des desserts en couches alternées – avec des biscuits – ou des cheesecakes. Elle est aussi très bien nature.
J’ai mal aux genoux. J’ai toujours eu mal, aussi loin que je m’en souvienne. Ça doit donc au moins dater de l’adolescence.
Ça n’empêche pas de vivre. Un athlète apprend à vivre avec la douleur et s’en servir comme indicateur d’entraînement, de pause, de repos. Par la force de l’habitude, il est capable de la situer, de la cibler, de l’estimer et de déterminer le degré d’urgence ou de danger.
Ainsi, même si elle était handicapante, cette douleur ne m’inquiétait pas plus que cela : aucune raison que ce soit une arthrose, même précoce ; la douleur n’est pas située à l’intérieur de l’articulation, mais juste au-dessus de la rotule, sur le ligament.
Mais elle était handicapante : les douleurs se faisaient ressentir dans tous les moments de la vie : monter ou descendre un escalier, s’asseoir – ou se lever d’une chaise –, s’accroupir, courir… Bref, dès qu’il fallait plier le genou, la douleur survenait, même lorsque les efforts étaient faibles.
J’avais l’impression d’être déjà un vieillard sans aucune raison de l'être…